Doit son nom au patronage du dernier Tzar de Russie, Nicolas II, ainsi que de sa mère, l'Impératrice Marie Feodorovna et son emplacement à Nice rappelle le début du XXe siècle où l'immigration russe, déjà importante, se développa avec la révolution de 1917 suite à laquelle de nombreux nobles Russes ont fui le pays.
La première impression qu'offre cette cathédrale vient donc de l'originalité de l'architecture russe peu connue en France et caractérisée par les coupoles. Elles sont réparties selon la hauteur, la coupole centrale haute de 52 mètres est accompagnée de quatre autres plus petites à chaque angle et enfin, à un niveau encore inférieur, deux clochers éclatants sous le soleil par leur teintes vertes, contrastant avec la brique rouge des murs.
L'église jouit d'une architecture dite "vieux-russien" et s'inspire de celle des églises de Moscou (St Basile le Bienheureux sur la place rouge ) et d'Iroslav des XVI et XVIIe siècles.
L'intérieur frappe par sa petite taille et par l'absence de chaises pour les fidèles qui assistent au culte debout.
Mon amie et moi avons été impressionnées par la ferveur des fidèles qui, malgré leur grand âge, se prosternent maintes fois pendant l'office.
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L'entrée principale
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Nice juin 2012
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